Aurora de esperanza
Antonio Sau. 1936. Esp. 58 min. N&b. DCP. VO.
Lutte syndicale et mélodrame. L’une des toutes premières productions anarcho-syndicalistes financées par la Confédération Nationale du Travail. Quelque part Aurora de esperanza préfigure le néoréalisme italien et s’il fallait absolument lui trouver un équivalent, il faudrait chercher du côté des œuvres de Renoir, Prévert ou Carné. À Barcelone, les usines ferment et les ouvriers se retrouvent sur le carreau. Juan est de ceux-là. La révolte le conduit en prison mais les meetings qu’il organise le portent à la tête d’une grande marche contre la faim.