Clodo et les vicieuses
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Au départ, une comédie : Clodo. Un chien qui parle, abandonné sur la route des vacances par ses maîtres, échoue dans une ferme où il se prend d’affection pour un paysan benêt amoureux d’une châtelaine inaccessible… Une comédie désolante dans laquelle Bourvil fait de la figuration, sa dernière apparition au cinéma généralement oubliée des filmographies (ce qui n’est pas plus mal). La chose est si piteuse qu’elle reste dans ses boîtes jusqu’à ce qu’on la ressuscite caviardée d’inserts pornographiques. Ce sera Clodo et les vicieuses. Un miracle. La chose est toujours aussi piteuse, mais incroyable. Une aberration du système qui nous laisse un OFNI proprement hallucinant.