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Alain Resnais en courts

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Les films qu'il faut avoir vus, saison 6



Les statues meurent aussi
Alain Resnais, Chris Marker, Ghislain Cloquet
1953. Fr. 30 min. N&b. DCP.
Comment, à partir d’un projet de documentaire sur l’« art nègre », Resnais aboutit à un film militant sur la relation qu’entretient l’Occident avec l’Afrique. « Nous n’avions pas, au départ, l’idée de faire un film anticolonialiste et antiraciste. C’est naturellement que nous avons été conduits à poser quelques questions, qui ont valu au film d’être interdit. » Alain Resnais, 1961

Toute la mémoire du monde
Alain Resnais
1956. Fr. 21 min. N&b. DCP.
L’organisation au sein de la Bibliothèque nationale de France, mémoire du monde. Un documentaire à la lisière du fantastique, à l’orée du film de fantômes. Les longs couloirs labyrinthiques et ses étranges occupants… « Les hommes ont peur d’être ensevelis sous tous les écrits alors, pour préserver leur liberté, ils construisent des forteresses. »

Nuit et brouillard
Alain Resnais
1956. Fr. 32 min. Coul. / N&b. DCP.
Oranienbourg, Auschwitz, Dachau, Ravensbrück… le lent calvaire des déportés. Le texte de l’écrivain Jean Cayrol, la voix de Michel Bouquet et l’impeccable travail de documentation du jeune cinéaste Alain Resnais, calme, serein et déterminé face à son sujet. « Qui de nous veille de cet étrange observatoire, pour nous avertir de la venue des nouveaux bourreaux ? Ont-ils vraiment un autre visage que le nôtre ? »

Séance présentée également dans le cadre de Positif fête ses 70 ans

mercredi 28 septembre 2022, 19h00       Infos pratiques - Vente en ligne
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