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Ciné-concert Laurel & Hardy

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Cinéma en Plein air 2023



[ALERTE MÉTÉO] En raison d’un risque d’orage annoncé dans la soirée, le ciné-concert d’ouverture du Cinéma en plein air prévu dans la cour de la Cinémathèque aura lieu dans la salle de cinéma. La jauge de la salle étant inférieure à celle de la cour et les places n’étant pas numérotées, tous les spectateurs ne pourront pas assister au ciné-concert. L’ouverture des portes aura lieu à 21h30, nous vous conseillons de vous présenter à l’accueil de la Cinémathèque à partir de 21h.
Plusieurs options sont proposées aux personnes déjà munies de leur ticket et qui ne pourront pas avoir de place en salle. Merci de contacter l’accueil de la Cinémathèque au 05 62 30 10 10 pour plus d’informations. Merci de votre compréhension.

V’la la flotte ! (Two Tars)
James Parrott. 1928. USA. 20 min. N&b. DCP. Muet.
Intertitres anglais sous-titrés français.

Laurel et Hardy constructeurs (The Finishing Touch)
Clyde Bruckman. 1928. USA. 19 min. N&b. DCP. Muet.
Intertitres anglais sous-titrés français.

À la soupe (From Soup to Nuts)
Edgar Kennedy. 1928. USA. 20 min. N&b. DCP. Muet.
Intertitres anglais sous-titrés français.

Stan Laurel et Oliver Hardy dit Laurel et Hardy. L’un des tandems les plus célèbres de toute l’histoire du cinéma. Vingt-cinq ans de carrière et plus de cent films au compteur. Mais avant de franchir le mur du son et de survivre au parlant, le duo enchaîne de courtes comédies aussi survitaminées que délirantes pour les Hal Roach Studios où l’humour est une arme de destruction massive. Un embouteillage monstre qui dégénère en course poursuite (V’la la flotte !), la difficile construction d’une maison par des artisans peu compétents (Laurel et Hardy constructeurs), et un dîner bourgeois et guindé saccagé (À la soupe), trois courts et géniaux films bâtis sur l’opposition physique et psychologique des deux agitateurs les plus drôles et les plus incontrôlables du cinéma muet.

Séance accompagnée par Jean-François Zygel Piano

Le mot de Jean-François Zygel
« Lorsque j’accompagne un film muet sur scène, presque en état d’hypnose, suspendu en apesanteur comme le fameux trapéziste de Kafka, je finis par avoir l’illusion que c’est moi qui suis le réalisateur du film, que mes doigts font surgir les images, que les touches de mon piano commandent le mouvement des personnages sur la toile, influençant leurs pensées, suscitant leurs émotions. »

En partenariat avec le Festival de Toulouse

vendredi 07 juillet 2023, 22h00       Infos pratiques - Vente en ligne
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