Le Pirate noir (The Black Pirate) – Pathé Wilson
Albert Parker. 1926. USA. 100 min. Coul. DCP. Muet. Intertitres anglais sous-titrés français. film Restauré par le Museum of Modern Art et la Film Foundation en coopération avec le British Film Institute. Financement assuré par la Hollywood Foreign Press Association. Remerciements à Alexander Payne.
À l’abordage ! Mesdames et messieurs, du spectacle et du spectaculaire avant tout. Mesdames et messieurs, laissez-vous envelopper dans les envoûtantes couleurs du Technicolor bichrome pour un film de pirates pur jus avec le bondissant Douglas Fairbanks. Sabres et jambes de bois, trésor caché sur une île déserte et duels à l’épée, sans oublier bien sûr le supplice de la planche. Mesdames et messieurs, l’heure de la grande aventure a sonné. Hissez le pavillon noir ! Pour venger le meurtre de son père, un jeune noble espagnol rejoint une bande de pirates où il se fait un nom, le Pirate noir, pour les frapper au cœur et au passage ravir celui d’une princesse prise en otage.
Le Bruit de la pellicule
Raphaël Howson piano, clavier
Quentin Ferradou batterie, percussions
Adrien Rodriguez contrebasse, effets
. Partenaire de la Cinémathèque de Toulouse depuis ses débuts, le trio Le Bruit de la Pellicule crée chaque année de nouvelles musiques pour le cinéma muet. La richesse des expériences de chaque musicien, allant de la musique classique au jazz, en passant par le théâtre musical et l’improvisation, leur permet de porter un regard contemporain, poétique et volontiers joueur sur les films qu’ils sonorisent. Utilisant un instrumentarium varié, le trio explore diverses approches et dispositifs, afin de rendre justice à la créativité et au génie du cinéma muet. Le Bruit de la Pellicule travaille également avec des orchestres et diffuse sa passion du ciné-concert auprès des écoles, dans divers festivals de cinéma et salles de spectacle partout en France.
Volontiers décalée et iconoclaste, la musique proposée par Le Bruit de la Pellicule pour le ciné-concert Le Pirate noir n’en est pas moins fidèle à l’audace, à la tension dramatique du film, et à la formidable énergie déployée par Douglas Fairbanks.
De 8 € à 15 €