Bunny Lake a disparu (Bunny Lake Is Missing) – Carte blanche Jean-Pierre Dionnet
Otto Preminger. 1965. GB. 107 min. N&b. DCP. VOSTF.
La pire hantise d’une mère : la disparition de son enfant. L’évocation quasi réaliste de la perte d’une gamine de quatre ans. Mais a-t-elle réellement existé ? La police en doute puisque personne ne semble avoir vu la gamine à part sa mère. Un thriller anxiogène à la lisière du fantastique. La réalité se brouille et les névroses poussent comme autant de champignons après la pluie… jusqu’à une résolution aussi vertigineuse qu’inattendue. Magistralement mis en scène et impeccablement interprété par Carol Lynley, une jeune mère bien moins fragile qu’il n’y paraît.
Séance présentée par Jean-Pierre Dionnet