L’amour c’est gai, l’amour c’est triste – Rue Saint-Denis
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L’amour c’est gai, l’amour c’est triste
Jean-Daniel Pollet
1968. Fr. 95 min. Coul. DCP.
Melki, Pierrot de la lune du cinéma français d’un côté. Marielle et sa grande gueule de l’autre. Au milieu, les filles, l’amour. Entre, l’argent. Léon, petit tailleur, partage un petit appartement avec sa sœur cartoman-péripatéticienne. Quand débarque Arlette. Mais le mac est déjà dans la place… Un très grand petit film, « un film insidieusement inoubliable », disait Resnais. « Le décalage du réel au-delà du naturalisme, par le biais de personnages à la Queneau, féériques, à la fois socialement typés, burlesques et un peu décadrés. » Jean-Daniel Pollet
Version restaurée
Précédé de
Rue Saint-Denis
Jean-Daniel Pollet
1964. Fr. 12 min. Coul. DCP.
Un sketch de Paris vu par… qui témoigne de ce goût du burlesque et de la mélancolie. Le timide Léon ramène une prostituée dans sa chambre d’hôtel. Retardant le moment du passage à l’acte, il discute pour tuer le temps lorsque survient une panne de courant providentielle.
Version restaurée